L’Ombudsman a conclu qu’un courriel envoyé le 23 janvier 2025 par le maire de la Ville de London à l’ensemble des membres du Conseil, y compris aux membres du comité des services communautaires et de protection, ne contrevenait pas aux règles des réunions publiques prévues dans la Loi de 2001 sur les municipalités, puisqu’il s’agissait d’une demande procédurale qui n’avait pas fait avancer de façon importante les travaux ou la prise de décision du Conseil ou de ce comité. Il a aussi conclu qu’une réunion informelle tenue le 11 mars 2025 entre plusieurs membres du comité de la planification et de l’environnement de la Ville de London et un député n’avait pas enfreint les règles des réunions publiques, car il s’agissait d’une discussion qui n’entrait pas dans le mandat de ce comité et n’avait pas fait avancer de façon importante ses travaux ou sa prise de décision.