Pas de temps à perdre
À la suite d’une coloscopie, un détenu a été avisé qu’il était probablement atteint d’un cancer du côlon et qu’il devrait immédiatement subir une opération chirurgicale – en l’espace d’une semaine.
AVIS – FERMETURE DU BUREAU – LE MARDI 30 SEPTEMBRE : Afin d'observer la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, une journée de commémoration et de réflexion, le Bureau sera fermé ce mardi 30 septembre. Nos lignes téléphoniques seront également fermées. Nos services reprendront le mercredi 1er octobre à 9 h. Les plaintes peuvent toujours être déposées à l’aide de notre formulaire de plainte en ligne ou par courriel à info@ombudsman.on.ca.
À la suite d’une coloscopie, un détenu a été avisé qu’il était probablement atteint d’un cancer du côlon et qu’il devrait immédiatement subir une opération chirurgicale – en l’espace d’une semaine.
À la suite d’une coloscopie, un détenu a été avisé qu’il était probablement atteint d’un cancer du côlon et qu’il devrait immédiatement subir une opération chirurgicale – en l’espace d’une semaine. Cependant, le médecin du pénitencier lui a dit que l’établissement n’avait reçu aucun document du spécialiste et qu’il faudrait attendre jusqu’à quatre semaines ne serait-ce que pour obtenir un rendez-vous chirurgical. Déjà, la coloscopie du détenu avait été retardée d’un mois car le personnel carcéral ne l’avait pas préparé correctement à cette procédure pour son premier rendez-vous.
Quand le personnel du Bureau de l’Ombudsman a communiqué avec l’établissement, celui-ci a confirmé que la coloscopie du prisonnier avait été retardée en raison d’erreurs du personnel. Le gestionnaire a obtenu un rendez-vous de suivi chez le spécialiste, et le diagnostic de cancer ayant été confirmé, une opération chirurgicale a été prévue au plus vite.
Après l’intervention chirurgicale, le détenu nous a fait savoir que le chirurgien avait dit qu’il avait « éliminé tout le cancer ». Il a remercié le personnel du Bureau de l’Ombudsman de lui être venu en aide durant une période d’anxiété extrême. Il a fini de purger sa peine quelques mois plus tard et il est alors rentré – sans cancer – retrouver sa femme et ses enfants.