Deuil exacerbé
Une femme, dont le conjoint de fait était décédé alors qu’ils vivaient dans un refuge pour sans-abris, s’est plainte auprès de nous que le Bureau du coroner en chef l’avait inhumé alors qu’elle avait réclamé le corps.
ATTENTION : NOS FORMULAIRES EN LIGNE SONT INUTILISABLES EN CE MOMENT : Nos formulaires Web pour les plaintes individuelles et pour le signalement obligatoire des décès et lésions corporelles graves d’enfants (DLCG) seront inutilisables entre le vendredi 3 octobre à 17 h et le lundi 6 octobre à 9 h. Vous pouvez toujours déposer une plainte ou un signalement de DLCG par courriel à info@ombudsman.on.ca.
Une femme, dont le conjoint de fait était décédé alors qu’ils vivaient dans un refuge pour sans-abris, s’est plainte auprès de nous que le Bureau du coroner en chef l’avait inhumé alors qu’elle avait réclamé le corps.
Une femme, dont le conjoint de fait était décédé alors qu’ils vivaient dans un refuge pour sans-abris, s’est plainte auprès de nous que le Bureau du coroner en chef l’avait inhumé alors qu’elle avait réclamé le corps. Lorsque nous avons parlé au Bureau du coroner, il nous a été dit que la femme n’avait pas procédé comme elle l’aurait dû pour réclamer le corps, et que les agent(e)s avaient par ailleurs manqué un courriel qui avertissait de communiquer directement avec elle. Ne réussissant pas à la joindre, ils(elles) ont pris contact avec le père de l’homme, qui leur a donné ses instructions pour l’inhumation. D’autres erreurs ont aussi été découvertes, notamment que le(la) coroner régional(e) principal(e) n’avait pas pris connaissance de la totalité du dossier avant de le signer pour autorisation. À la suite de nos demandes de renseignements, le(la) coroner régional(e) principal(e) a présenté ses excuses à la femme. Le Bureau du coroner en chef nous a remercié(e)s de notre intervention et a convenu d’apporter des améliorations pour éviter que de telles situations ne se reproduisent.