Brutalisée et déconcertée
Une mère nous a appelés, complètement frustrée de ne pas parvenir à obtenir de l’aide pour sa fille âgée de neuf ans, qui avait été gravement brutalisée et blessée à l’école, et qui avait des pensées d’automutilation.
AVIS – FERMETURE DU BUREAU – LE MARDI 30 SEPTEMBRE : Afin d'observer la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, une journée de commémoration et de réflexion, le Bureau sera fermé ce mardi 30 septembre. Nos lignes téléphoniques seront également fermées. Nos services reprendront le mercredi 1er octobre à 9 h. Les plaintes peuvent toujours être déposées à l’aide de notre formulaire de plainte en ligne ou par courriel à info@ombudsman.on.ca.
Une mère nous a appelés, complètement frustrée de ne pas parvenir à obtenir de l’aide pour sa fille âgée de neuf ans, qui avait été gravement brutalisée et blessée à l’école, et qui avait des pensées d’automutilation.
Une mère nous a appelés, complètement frustrée de ne pas parvenir à obtenir de l’aide pour sa fille âgée de neuf ans, qui avait été gravement brutalisée et blessée à l’école, et qui avait des pensées d’automutilation.
Cette femme avait tenté à plusieurs reprises d’emmener sa fille dans un hôpital, mais cet établissement lui avait systématiquement recommandé de s’adresser à un organisme local de services communautaires. Cet organisme avait déclaré que le cas n’était pas urgent et avait inscrit la fillette sur une liste d’attente pour ses services de counseling. Les employés de l’organisme avaient dit qu’ils manquaient de personnel et qu’ils étaient submergés de demandes. Entre-temps, la fillette avait dû faire ses études à domicile pendant toute une année.
Le personnel du Bureau de l’Ombudsman a signalé ce dossier au superviseur de programme au ministère des Services à l’enfance et à la jeunesse. Celui-ci a immédiatement communiqué avec l’organisme local de services communautaires. La fillette a obtenu d’urgence des soins de thérapie et a été orientée vers un programme de jour pour des services de relève. De plus, l’hôpital a présenté ses excuses à la famille. La mère a dit à notre Bureau qu’elle était déconcertée et ne comprenait pas pourquoi personne n’avait pu l’aider auparavant. Elle a remercié l’Ombudsman d’avoir fait avancer les choses.