Un francophone nous a contacté(e)s et nous a relaté qu’à la suite d’un accident de travail, il avait perdu l’usage de ses jambes pendant quelques années. Après plusieurs opérations délicates, il a recommencé à marcher. Il est un client de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail. Il nous a fait part d’une lettre en anglais de la Commission qu’il a reçue par l’intermédiaire de l’infirmière consultante unilingue anglophone affectée à son cas, alors qu’il avait indiqué le français comme langue de préférence. Il a demandé la traduction de cette lettre, mais celle-ci ne lui a pas été fournie.

RÉSULTAT : Grâce à notre intervention, la Commission a fourni au francophone la version française de la lettre. La Commission nous a indiqué avoir en place dans ses procédures la vérification de la langue de préférence des client(e)s lors de l’assignation des cas, y compris pour les infirmier(ière)s consultant(e)s. Un rappel a été fait par l’entremise d’une infolettre envoyée à tout le personnel de la Commission de tenir compte de la langue choisie et d’assigner les cas en français à du personnel compétent en français. Finalement, la Commission a indiqué qu’elle entamerait des discussions internes sur son système d’information pour améliorer l’identification de la langue dès l’ouverture du dossier d’un(e) client(e).


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