Bras en écharpe
Une femme qui s’était fracturé la clavicule avant d’être envoyée en prison s’est plainte à nous qu’elle attendait une écharpe pour son bras depuis huit jours.
Avis - fermeture du Bureau les jours suivants :
De midi le mercredi 24 décembre jusqu'au vendredi 26 décembre
ainsi que de midi le mercredi 31 décembre et le jeudi 1er janvier 2026
Nos lignes téléphoniques seront également fermées. Les plaintes peuvent toujours être déposées à l’aide de notre formulaire de plainte en ligne ou par courriel à [email protected].
Une femme qui s’était fracturé la clavicule avant d’être envoyée en prison s’est plainte à nous qu’elle attendait une écharpe pour son bras depuis huit jours.
Une femme qui s’était fracturé la clavicule avant d’être envoyée en prison s’est plainte à nous qu’elle attendait une écharpe pour son bras depuis huit jours. Elle a déclaré que son médecin lui avait donné une écharpe pour immobiliser sa blessure et gérer ses douleurs, mais que le personnel correctionnel lui avait dit qu’elle serait placée en isolement si elle en avait une, parce que cette écharpe pouvait être considérée comme une arme. Quand notre personnel a parlé au personnel de soins de santé de l’établissement correctionnel, il a été informé que cette détenue pourrait voir un médecin le jour même et qu’il n’y aurait aucun problème s’il lui prescrivait une écharpe, étant donné que de nombreux détenus sont autorisés à utiliser des appareils fonctionnels dans la population carcérale générale.