Un francophone licencié de son poste de pompier volontaire par une municipalité s’est plaint auprès de nous du fait que la municipalité lui avait envoyé une lettre expliquant son licenciement en anglais seulement. Il nous a demandé si nous pouvions l’aider à communiquer avec quelqu’un qui pourrait lui en faire parvenir une version française, car ses relations avec la municipalité étaient tendues.

Résultat : Même si la municipalité n’y était pas tenue en vertu de la Loi sur les services en français, elle a déclaré, après que nous avons soulevé la question auprès de son(sa) greffier(ière), qu’elle serait heureuse de transmettre à l’homme la version française demandée. Il l’a reçue et nous a remercié(e)s de notre aide.