LISTE DES RAPPORTS AVEC RÉSUMÉS
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Canton d’Adelaide Metcalfe, 27 juin 2014
juin 27, 201427 juin 2014
L’Ombudsman a examiné une réunion à huis clos tenue par le conseil du Canton d’Adelaide Metcalfe. Aucun avis de la réunion n’a été communiqué au public. Le règlement de procédure stipule que, dans le cas d’une réunion d’urgence, le greffier doit déterminer comment communiquer l’avis de la réunion. L’Ombudsman a conclu que le sujet de la réunion n’aurait pas dû constituer une urgence et qu’un avis aurait dû être communiqué au public.
juin 27, 201427 juin 2014
L’Ombudsman a examiné une réunion à huis clos tenue par le conseil du Canton d’Adelaide Metcalfe en invoquant l’exception des renseignements privés pour discuter de commentaires faits par un conseiller sur le rendement des employés. La discussion a notamment porté sur les préoccupations exprimées par des membres du personnel identifiés au sujet des répercussions des commentaires du conseiller. L’Ombudsman a conclu qu’une discussion générale sur les tensions entre le conseil et le personnel ne serait permise à huis clos. Toutefois, comme le conseil avait discuté de renseignements privés concernant des personnes qui pouvaient être identifiées et qui étaient membres du public, et de certains membres du personnel, la discussion relevait de l’exception des renseignements privés.
Canton d’Adelaide-Metcalfe, 23 mai 2012
mai 23, 201223 mai 2012
L’Ombudsman a examiné une réunion à huis clos tenue par le conseil du Canton d’Adelaide-Metcalfe en invoquant l’exception du secret professionnel de l’avocat pour discuter d’une entente de plan de site et d'un partage des coûts proposés par un promoteur local. Les représentants du promoteur étaient présents à la séance à huis clos. L’Ombudsman a conclu que le secret professionnel de l’avocat s’applique aux communications entre un avocat et un client quand l’objectif est de solliciter ou de donner des conseils juridiques et quand les communications sont censées rester confidentielles pour les deux parties. Pour s’appuyer sur cette exception, la municipalité ne doit pas provoquer une exemption de l’application du secret professionnel. L’Ombudsman a conclu que la présence de tierces parties à la séance à huis clos constituait un motif d’exemption de l’application du secret professionnel de l’avocat. Par conséquent, la discussion ne relevait pas de l’exception du secret professionnel de l’avocat.